"Roberta est toute petite et dans ses yeux noisettes, j'ai vu tout de suite comme une odeur de fête. Roberta a 82 ans, Roberta a 3 enfants, ils pourraient être mes parents, parfois j'y pense de temps en temps,
Ma Roberta a une robe
Qui trébuche jusqu'au chevilles
Et puis accroché à un lobe, une petite croix qui brille…"
(Cali, Roberta, 2005)
Qui trébuche jusqu'au chevilles
Et puis accroché à un lobe, une petite croix qui brille…"
(Cali, Roberta, 2005)
De gauche à droite: la mozzarella fumée: la fumicata, la burrata (un délice), et le trieccia (j'avoue avoir un faible pour celle-ci)
Vous l'aurez compris sans vivre dans le passé, je suis quelqu'un de nostalgique. Cette chanson me fait étrangement penser à ma grand mère qui ne s'appelait pas Roberta…
Je ne viens pourtant pas vous parler d'elle, mais de Roberta, oui je sais , ce n'est pas simple… Roberta, c'est la belle mère de Bénédicte qui m'a accueilli dans son bar à mozzarella.
Une véritable découverte! Depuis un article lu dans Elle à Table ou Elle, j'y pensais, mais je ne trouvais pas le temps. Heureusement, le travail m'a amené à rencontrer Bénédicte. J'ai quand même de sacrées compensations! Je n'ai pas été très présente ces dernières semaines Du côté de chez Willow, mais je n'ai pas chômé pour autant... La preuve, j'ai dégusté et appris à aprécier plein de nouvelles choses, de la mozzarella entre autres...
Bénédicte m'a donc fait découvrir ses produits, tous plus surprenants les uns que les autres, tous d'une grande qualité et je peux vous assurer que je ne pourrais plus jamais acheter de la mozzarella en sachet au supermarché!
L'idée de Bénédicte une tresse (trieccia) de mozzarella dans une assiette, un assortiment d'antipasti et un groupe d'amis, voilà le secret d'une soirée réussie et d'un apéritif dînatoire revisité.
Bénédicte m'a donc fait découvrir ses produits, tous plus surprenants les uns que les autres, tous d'une grande qualité et je peux vous assurer que je ne pourrais plus jamais acheter de la mozzarella en sachet au supermarché!
L'idée de Bénédicte une tresse (trieccia) de mozzarella dans une assiette, un assortiment d'antipasti et un groupe d'amis, voilà le secret d'une soirée réussie et d'un apéritif dînatoire revisité.
3 commentaires:
mmm... toutes ses mozzarella font envie... on n'a jamais goûté la fumée que l'on trouve au marché, mais j'imagine à quel point ce que l'on vend avec l'appelation mozzarella dans les sachets des supermarchés sont bien loin de la vraie...
Je découvre ton blog et j'aime beaucoup!
La mozzarella maison doit être bien meilleure que celle du supermarché. Déjà qu'il y a une grande différence entre les différentes marques.
Tiens tiens, la burrata, quelle coincidence... je viens d'en parler (avec nostalgie !) également. La mozzarella fumée, je ne crois pas en avoir goûté...
Enregistrer un commentaire